« L’éternité n’est pas de trop » de François Cheng
Fiche 77,
1ère lecteur B. : Une passion amoureuse à la fin de la dynastie Ming (XVIIe siècle). Dao-Sheng vit dans un monastère en pleine montagne, à la fois médecin et
devin, il oscille entre bouddhisme et taoïsme, retenu de tout engagement définitif par un secret vieux de trente ans : son amour toujours vivace pour une fille juste entraperçue alors qu’il avait 20 ans. Aussi décide-t-il de mettre fin à cette obsession en descendant dans la plaine pour tenter d’y rencontrer celle qu’il a aimée. Et la rencontre a lieu, la passion est partagée même si épreuves et obstacles attendent les amants. Dans L’éternité n’est pas de trop l’amour est vécu comme absolu. Dans une Chine en pleine mutation qui s’ouvre aux autres civilisations, la rencontre avec le Jésuite est aussi le lien qui permet le dialogue et l’ouverture à l’autre.
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