« Le bonheur fou » de Jean Giono
Fiche N°86
1ère lectrice I. : « Le bonheur fou » est la suite du » hussard sur le toit ». Déception, le livre ne répond pas aux attentes de la lectrice qui s’est régalée avec Le hussard sur le toit.
Association pour favoriser ouverture, le partage et les activités culturelles
Fiche N°86
1ère lectrice I. : « Le bonheur fou » est la suite du » hussard sur le toit ». Déception, le livre ne répond pas aux attentes de la lectrice qui s’est régalée avec Le hussard sur le toit.
Fiche N°85
1ère lectrice I. :Un ouvrage très surprenant qui a beaucoup séduit la lectrice : « Un ancien législateur des concessions françaises de Shanghai. Un jésuite qui jadis a fait partie du corps expéditionnaire pour la propagation de la foi en territoires difficiles, à savoir la Chine.
Une diva chinoise morte à Hiroshima. Deux soeurs qui se perdent et se retrouvent, se déchirent, se réconcilient : Pêche et Marianne, l’une écrivain célèbre, l’autre qui se prostitue à Paris pour des clients chinois et rédige un livre de philosophie, le Traité du Palanquin vide. Un repas de mariage où l’on déguste des souris vivantes.
Des idéogrammes tracés à même la peau – en particulier celui qui signifie «écrire», formé d’un toit, de deux mains et du signe «changer l’ordre des choses»…
Voilà un peu de la matière dont est fait ce roman. L’écriture imprévisible et bondissante de Lisa Bresner y cerne le secret d’une Chine mythique, lointaine, dangereuse : une Chine intérieure ».
fiche N°84
1ère lectrice I. : Un coup de cœur pour Isabelle, en effet : « à travers ces «chansons» , l’auteur propose un voyage dans la Bretagne de son enfance, qui se prolonge jusque dans l’arrière-pays niçois. Sans aucune nostalgie, il rend compte de la magie ancienne dont il fut le témoin, en dépit des fracas de la guerre toute proche, par les mots empruntés à la langue bretonne et les motifs d’une nature magnifique. Le texte est bercé par une douceur pastorale qui fait vibrer les images des moissons en été, la chaleur des fêtes au petit village de Sainte-Marine ou la beauté d ‘un champ de blé face à l’océan.
Fiche 83,
1ère lectrice H.: L’auteur, philosophe et sociologue, dans un style très simple, clair et très facile à lire nous rappelle les rapports que les humains entretiennent depuis toujours avec les animaux. Il nous démontre surtout que les maltraitances infligées aux animaux rabaissent l’homme au rang de barbare. Retrouver notre humanité passe par le respect de tout être vivant, par la protection et la compassion pour toutes formes de vie, y compris l’humain.
Ne pas respecter l’animal c’est ne pas respecter ni l’homme, ni la planète. C’est écrit un peu à la manière de Pierre Rabbi.
Fiche 82,
1ère lectrice H.: C’est un grand témoignage très émouvant, je reprends juste le résumé du site Babelio : « Les survivants se rappellent cette liste avec une telle émotion que la réalité se brouille. La liste, c’était le bien absolu. C’était la vie. Au-delà de ces quelques feuillets bourrés de noms, il n’y avait plus qu’un trou noir. » Traité comme un roman, « La liste de Schindler » est un hommage à l’Allemand Oskar Schindler. Durant la Seconde Guerre mondiale, ce dernier utilisa sa position dominante et ses relations parmi les SS pour sauver mille deux cents Juifs d’une mort certaine. La liste recensait les ouvriers qu’il comptait faire transférer de Pologne en Tchécoslovaquie, et pour lesquels il n’hésita pas à dépenser plus de cent mille reichmarks en pots-de-vin. Aujourd’hui, un arbre à Jérusalem porte son nom ».
Fiche 81,
1er lecteur E.: C’est la vie houleuse et sulfureuse du Caravage que nous livre Yannick Haenel. C’est aussi le travail du Caravage, son œuvre tourmentée et contrastée que nous décrit l’auteur. On ne reste pas insensible à cette lecture.
Fiche 80,
3ème lectrice I: a également beaucoup apprécié cet ouvrage.
1er lecteur E. : Dans une belle écriture, les auteurs nous racontent leur périple de 6 mois et 2500 km. Ils nous entraînent dans leur lent et passionnant voyage sur les routes du thé.
Fiche 79,
1er lecteur E. : Dans cette passionnante autobiographie, le célèbre danseur étoile Rudolf Noureev, nous révèle son histoire de petit garçon soviétique né dans la pauvreté, son audacieux passage à l’ouest lors de sa première tournée en France en 1961.
Fiche 78,
1er lecteur E. : C’est la folle aventure de Capucine Trochet, voileuse handicapée. Elle rafistole un petit voilier de pèche venant du Bangladesh. Après 10 mois de mer, elle apprend le nom de sa maladie et décide de poursuivre ses navigations contre vents et marées, sans moteur, sans électronique et sans le sou… Comme elle le dit, ce bateau est devenu « ses ailes et sa liberté »
Fiche 77,
1ère lecteur B. : Une passion amoureuse à la fin de la dynastie Ming (XVIIe siècle). Dao-Sheng vit dans un monastère en pleine montagne, à la fois médecin et
devin, il oscille entre bouddhisme et taoïsme, retenu de tout engagement définitif par un secret vieux de trente ans : son amour toujours vivace pour une fille juste entraperçue alors qu’il avait 20 ans. Aussi décide-t-il de mettre fin à cette obsession en descendant dans la plaine pour tenter d’y rencontrer celle qu’il a aimée. Et la rencontre a lieu, la passion est partagée même si épreuves et obstacles attendent les amants. Dans L’éternité n’est pas de trop l’amour est vécu comme absolu. Dans une Chine en pleine mutation qui s’ouvre aux autres civilisations, la rencontre avec le Jésuite est aussi le lien qui permet le dialogue et l’ouverture à l’autre.